Au début des années 1970, l'état-major français décide de remplacer progressivement ses sous-marins d'attaque classiques par des sous-marins nucléaires d'attaque, jusqu'au début du xxie siècle.
La base de Lorient ne disposant pas de site de traitement des combustibles nucléaires, la fermeture de celle-ci est alors prévue pour le début des années 2000.